En 2013, les grands investisseurs français ont, comme les années passées, privilégié le marché obligataire qui compte pour 73 % des actifs (contre 72 % en 2012). Au sein de cette classe d’actifs, les titres souverains et assimilés comptent pour 40 % quand les dettes émises par les entreprises non financières représentent 25 % des encours et les entreprises financières 20 %. Les actions progressent de 2 points et représentent 14 % des actifs.