Fin 2013, les OPCVM monétaires qui s’établissent à 284,3 milliards d’euros enregistrent une baisse de 2,5 milliards par rapport au mois de novembre. Ce résultat s’explique par d’importants désinvestissements du secteur de l’assurance (-12,1 milliards) quand les souscriptions nettes des établissements de crédits s’élèvent à 4,1 milliards et les celles des autres institutions finanicères à 6,2 milliards. Sur l’ensemble de l’année, les retraits nets atteignent -34,7 milliards (soit un recul de 11 %) une fois de plus principalement imputable aux désinvestissements des assurances (-26,7 milliards) mais également lié à des désinvestissements constatés dans les sociétés non financières (-11,4 milliards), les administrations publiques (-6,9 milliards) et les ménages.
Les OPCVM non monétaires qio représentent au 31 décembre 2013, 944,2 milliards d’euros, sont elles moins impactées par les retraits et enregistrent un recul de 0,4 milliard en décembre.
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