Le nouveau contrat « Génération » ne doit pas suivre le mauvais exemple des contrats DSK et NSK qui ont été des échecs. Créés en 1998 par Dominique Strauss-Kahn et remaniés par Nicolas Sarkozy en 2005, les contrats DSK-NSK n’ont jamais trouvé leur public. L’épargne de ces contrats en unités de compte devait être investie dans des entreprises à forte croissance, des PME, des FCPE, des FCPI ou des FCPR selon des pourcentages définis par les pouvoirs publics. Aujourd’hui, 333 000 Français ont un contrat DSK. L’encours est inférieur à 7 milliards d’euros. Les cotisations brutes se sont élevées, en 2012, à 111 millions d’euros et depuis des années, ce produit est sujet à une décollecte. Au sommet de sa forme, le DSK avait atteint 12 milliards d’euros d’encours. Avec la création du nouveau contrat « Génération », il est à noter qu’il ne sera plus possible d’ouvrir des contrats NSK.