Selon les derniers chiffres publiés aujourd’hui par la Banque de France, le déficit des transactions courantes ressort en octobre à -2,1 milliards d’euros, après -3,6 milliard en septembre. Il s’était élevé à – 3,1 milliards en août après – 3,3 milliards en juillet. Cette nette amélioration proviendrait « d’une diminution du déficit des échanges de biens et d’une amélioration de l’excédent des services. » Le déficit des biens s’inscrit à -5,0 milliards en octobre après -5,7 milliards en septembre. L’excédent des services progresse, à 3,3 milliards après 2,6 milliards en septembre. Les soldes des revenus et des transferts courants sont stables.
Pour rappel, la balance des paiements courants de la France, communément appelée aussi balance courante, est égale à la balance commerciale (le solde de nos flux monétaires résultant des échanges internationaux de bien et de services) auquel on ajoute les revenus et les transferts courants, c’est-à-dire les flux financiers que les Français (particuliers, entreprises ou État) échangent avec le reste du monde.
Selon la Banque de France, au sein du compte financier, les investissements directs se soldent par des entrées nettes de 8,0 milliards – qui proviennent malheureusement du fait notamment de désinvestissements d’entreprises françaises à l’étranger. Les opérations sur titres sont à l’origine de sorties nettes de 11,3 milliards, et les prêts et emprunts (« autres investissements ») d’entrées nettes de 17,5 milliards.
Pour rappel, la balance des paiements courants de la France, communément appelée aussi balance courante, est égale à la balance commerciale (le solde de nos flux monétaires résultant des échanges internationaux de bien et de services) auquel on ajoute les revenus et les transferts courants, c’est-à-dire les flux financiers que les Français (particuliers, entreprises ou État) échangent avec le reste du monde.
Selon la Banque de France, au sein du compte financier, les investissements directs se soldent par des entrées nettes de 8,0 milliards – qui proviennent malheureusement du fait notamment de désinvestissements d’entreprises françaises à l’étranger. Les opérations sur titres sont à l’origine de sorties nettes de 11,3 milliards, et les prêts et emprunts (« autres investissements ») d’entrées nettes de 17,5 milliards.
