Selon une étude réalisée par KPMG durant l’été, les entreprises familiales européennes semblent mieux résister à la crise. En effet, selon ce baromètre, 97 % des entreprises de taille intermédiaire (ETI) déclarent vouloir réaliser des investissements, et 92% des entreprises familiales européennes le souhaitent également. Un bémol toutefois est à mettre à cet enthousiasme, cette étude ayant été réalisée durant l’été, c’est-à-dire avant les changements fiscaux, législatifs et les annonces de fermeture d’usines de cet automne. Ces entreprises sont non seulement prêtes à investir, mais de plus en plus à trouver des relais de croissance à l’étranger. 28 % pour les entreprises françaises souhaitent se tourner vers l’international et 26 % au niveau européen. Par ailleurs, 54 % des entreprises familiales européennes se disent optimistes sur leur avenir dans les 6 à 12 prochains mois, 34 % neutres et 11% pessimistes. En France, elles sont 58% à être confiantes pour leur avenir. Par ailleurs, 79% des entreprises familiales françaises ont vu leur chiffre d’affaires se maintenir ou augmenter durant les six derniers mois, ce qui fut le cas pour seulement 69% de leurs voisines européennes.
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