Le patrimoine des ménages américains a perdu 24 % de sa valeur depuis le début de la crise en 2007. Cette contraction évaluée à 16 000 milliards de dollars est imputable en grande partie à la baisse des prix de l’immobilier (91 % de la contraction). En revanche, le taux d’épargne est passé de 3,2 à 11,1 % du revenu disponible brut de 2006 à 2011. ce développement de l’épargne pèse sur la croissance américaine.