La crise et l’instabilité des marchés ces dernières semaines cachent la bonne santé des entreprises du CAC. En effet, les grands groupes se sont remis à investir (+12%) après plusieurs années marsquées par la prudence, et n’ont jamais été autant internationalisés.
L’amélioration des comptes réjouit les entreprises mais également les Etats dans lesquels elles se sont implantées. Les impôts sur le bénéfice augmentent de plus de 17%, si bien que le montant des impôts versés dépasse celui des dividendes.
Il est cependant à noter que ce différentiel s’explique aussi par la contraction des dividendes à hauteur de 10% environ.