Stéphane Dedeyan, président de la commission plénière des assurances de personnes de la FFSA, directeur de Generali France, a répondu à plusieurs questions de la rédaction de l’hebdomadaire, « Le Point » au sujet des conséquences pour les assureurs et les assurés de la crise sur les dettes souveraines. Il a souligné que les assureurs ne pouvaient pas être assimilés aux banquiers et qu’il n’y avait pas de risque systémique sur les fonds euros des contrats d’assurance-vie. Par ailleurs, il a indiqué que la baisse du rendement des fonds euros liée à la crise grecque sera faible car les assureurs ont su diversifier la composition des fonds euros.
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