Si dans les années soixante-dix, le taux d’épargne des Français dépassait les 20 % du revenu disponible brut, il a connu un forte baisse dans les années quatre-vingt (autour de 12 %) avant de remonter autour de 16 %. Avec la crise, il se maintient à un haut niveau, 16,2 % pour 2010 soit deux points au-dessus de la moyenne européenne.