Avec 2 millions de bénéficiaires, le PERP a atteint un cap qu’il n’arrive pas à dépasser. Les contraintes réglementaires le corsètent et l’empêche de se développer.
La levée de l’interdiction des rétrocessions et l’amélioration du dispositif de réversion sont nécessaires pour le moderniser. De même, le dispositif fiscal pourrait être complété par un crédit d’impôt. Par ailleurs, un couplage avec l’assurance-vie pourrait être imaginé. Le PERP pourrait ainsi devenir le compartiment long du produit d’épargne le plus populaire après le Livret A